« Passez votre C.A.P. pâtissier avec nous » de Michel et Augustin, éditions Hachette, collection Hachette Cuisine
J’ai acheté ce documentaire en pensant aux élèves apprentis cuisiniers qui souhaitent entrer en C.A.P. pâtisserie, et qui découvriront dans ce titre toutes les informations à connaître pour pouvoir passer l’examen et obtenir le diplôme.
Avec Michel et Augustin, qui ont fondé leur marque, le lecteur va trouver de quoi devenir un excellent pâtissier.
Le livre se présente comme une formation de 23 semaines, avec différentes leçons de cuisine et étapes pour apprendre pas à pas à devenir un bon pâtissier. Ce manuel bourré d’humour et de témoignages, est aussi très technique et sérieux. Il rappelle qu’on ne réussit pas du tout du premier coup, qu’il faut beaucoup d’entraînement, et que les erreurs permettent d’avancer.
Les différents cours donnés sont étalés sur les différents mois de l’année, jusqu’en mai-juin, au moment de passer le C.A.P.
Après des explications sur les ustensiles indispensables et la tenue, c’est parti pour les cours pour apprendre à cuisiner : génoise, entremets, décors, montages, pâtes à tarte, caramel, religieuses, croissants et autres chaussons aux pommes n’auront plus de secrets pour vous ! Des petits tests de connaissance émaillent les cours. Puis des conseils sont donnés, et le déroulé de l’épreuve expliqué pas à pas. Enfin, les principales règles d’hygiène et de sécurité sont expliquées, ainsi que toutes les connaissances à avoir sur les aliments. Un lexique termine utilement l’ouvrage, avec des modèles de gabarits.
Alors à vos rouleaux et pinceaux, et bon appétit !
« Langue des signes : mots et expressions », éditions Aedis, collection Super Guide
Je ne connais pas du tout la langue des signes, et suite à une suggestion de Manou, qui m’a suggéré ces éditions pour apprendre le langage des signes, j’ai décidé d’acheter ce petit dictionnaire au format poche, pour une première approche.
Au début, une brève histoire de la langue des signes est donnée, suivie de l’alphabet et des chiffres en LSF, puis la partie dictionnaire proprement dite commence, avec différents mots et expressions illustrés pour apprendre la LSF.
Une bonne base déjà conséquente pour qui ne connaît pas cette langue.
« Parvana. Une enfance en Afghanistan » de Deborah Ellis, éditions Le livre de poche jeunesse
Résumé : Parvana, 11 ans, vit en Afghanistan, sous le régime des talibans. Depuis plus d’un an, elle ne peut plus aller à l’école ou sortir seule dans la rue, sans être accompagnée de son père. Mais sa vie déjà difficile va l’être encore plus le jour où son père va être emprisonné. Comment sortir et nourrir la famille, maintenant qu’il n’y a plus son père ? Heureusement, Parvana est ingénieuse.
Mon avis : C’est un titre que j’ai lu il y a longtemps, à l’époque de de sa sortie en poche. Et j’ai eu envie de le redécouvrir après la sortie du film animé.
L’Afghanistan ne fait plus la une de l’actualité, mais l’intégrisme religieux et le fanatisme sont toujours d’actualité, ainsi que le combat des femmes pour l’égalité et la liberté.
Parvana souffre de ne plus pouvoir aller à l’école, sortir rarement, et être confinée à la maison avec sa famille. Mais lorsque son père est arrêté sous ses yeux, elle comprend qu’il s’agit d’un nouveau tournant dans sa vie. Il lui revient de trouver une solution pour pouvoir faire vivre sa famille.
Alors Parvana se fait couper les cheveux et s’habille en garçon, découvrant la joie de pouvoir sortir librement et de pouvoir ramener de l’argent à sa famille, espérant que son père soit libéré.
Sa mère, d’abord effondrée, va reprendre la rédaction d’articles clandestins pour témoigner de ce qui se passe en Afghanistan, et chacun à sa façon va résister et essayer de bouger pour que les choses changent.
Un récit sous forme de témoignage qui permet de faire connaître les conséquences de la guerre, mettre en avant la condition des femmes, et réfléchir au fondamentalisme, avec une héroïne forte et courageuse.
« Dessiner des choses mignonnes » d’Angela Nguyen, éditions Eyrolles
Dans la veine des livres pour apprendre à dessiner qui rencontrent un beau succès au CDI, j’ai acheté ce titre, en pensant aux élèves qui adorent dessiner des dessins mignons et kawaïs.
Comme dans « 1001 dessins faciles à la japonaise », que j’avais beaucoup apprécié, cet ouvrage permet en quelques étapes d’apprendre à dessiner facilement des personnages, animaux ou objets de façon mignonne.
Quelques conseils et techniques sont donnés au début, puis on passe ensuite à la pratique avec différents modèles à dessiner en trois étapes. Certains sont plus faciles à réaliser que d’autres, et on y prend grand plaisir.
« The hate u give. La haine qu’on donne » d’Angie Thomas, éditions Nathan
Résumé : Starr, 16 ans, noire, vit dans un quartier régi par des gangs, et où les sorties de police sont souvent violentes. Elle va dans un lycée où les blancs sont majoritaires, et vit entre ces deux mondes opposés. Mais sa vie va basculer le jour où son meilleur ami se fait tuer sous ses yeux par la police lors d’un simple contrôle. Elle va se retrouver face à ses choix : se taire par peur, ou oser parler pour témoigner.
Mon avis : J’ai lu plusieurs avis unanimes sur ce titre sur la blogosphère, et je suis tout à fait d’accord avec eux.
Ce livre poignant est un uppercut qu’on reçoit en pleine poitrine, qui fait qu’on ne sera plus tout à fait le même après.
Tout le monde a entendu parler des faits divers aux Etats-Unis, où, pour un geste ou une attitude mal interprétés, des noirs se font tirer dessus par des policiers blancs. C’est ce qui va arriver sous les yeux de Starr, qui avait déjà perdu sa meilleure amie sous ses yeux quand elle était petite, tuée par des tirs entre gangs.
Cette fois-ci, elle revient avec son meilleur ami, Khalil, d’une soirée quand le contrôle policier tourne mal et que Kahlil se fait tuer de trois balles dans le dos par un policier qui a trop vite appuyé sur la gâchette. Traumatisée, et seule témoin de la scène, Starr ne sait pas comment réagir face à ce nouveau coup du sort. Doit-elle se taire, par peur des représailles, ou aura-t-elle le courage d’oser parler et témoigner pour que justice soit faite ?
Ce roman est une plongée très réaliste dans le monde des quartiers très difficiles, où les guerres de gangs rythment le quotidien, la pauvreté est immense, et le sentiment d’injustice intenable.
Starr vit écartelée entre deux monde, celui de son quartier et celui de la banlieue chic où elle va au lycée, avec ses amis blancs, et la façade d’insouciance. Tout vole en éclats avec la mort de Khalil, et Starr va devoir remettre en cause sa petite vie bien réglée, mais qui la rend folle en même temps.
Un roman fort, poignant, sans misérabilisme ni faux semblant, qui montre la réalité crue du quotidien des quartiers difficiles, la pauvreté, la drogue, l’infiltration des gangs, l’écart entre quartiers proches, le racisme, les a-priori et la peur de la police, le manque criant de justice, et qui met en avant une héroïne forte, mais qui doute d’elle-même et de son courage.
Un roman poignant et intense, à lire et à faire lire !
Un film a été adapté du roman, mais je ne l'ai pas vu. Et vous ?
Quelques extraits :
Papa m’a toujours dit qu’il ne fallait jamais avoir peur de dire la vérité aux gens. Lui inclus.
C’est ça le souci. On laisse les gens dire des trucs, et ils en abusent au point qu’ils ne voient plus le problème. Et que ça devient normal pour nous. A quoi ça sert d’avoir une voix si c’est pour se taire quand il faudrait parler ?
Être courageuse, ça veut dire ne pas se laisser abattre par sa peur. Et c’est ce que tu fais
Pourtant, je crois qu’un jour ça changera. Comment ? Je ne sais pas. Quand ? Je le sais encore moins. Alors pourquoi ? Parce qu’il y aura toujours quelqu’un pour se battre. Et peut-être qu’à présent c’est mon tour.
« La théorie du complot » d’Arthur Ténor, éditions Scrinéo
Résumé : Sébastien, élève de troisième geek et surdoué, adore alimenter les hoax sur Internet. Et lorsqu’après les attentats de novembre 2015, il reçoit d’un mystérieux interlocuteur des mails montrant la face cachée des attentats, il n’hésite pas à les publier sur son site. Le voilà parti dans une spirale infernale…
Mon avis: J’ai acheté ce titre, car je trouvais intéressant de pouvoir avoir un roman sur le thème des fake news et des théories du complot.
Mais je n’ai pas réussi à accrocher dans ce titre, qui, en voulant parler du sujet, est un peu trop didactique à mon goût, et empêche de vraiment rentrer dans l’histoire. Du coup, il manque la petite étincelle et l’émotion qui permettent de vraiment adhérer à l’histoire.
L’intention est louable, en expliquant comment Sébastien se retrouve pris dans ses mensonges, et n’arrive plus à s’en sortir, mais les ficelles sont un peu trop grosses. Par exemple, je trouve que Sébastien, présenté comme plutôt intelligent et surdoué, arrive à se retrouver dans une situation où il ne réfléchit pas suffisamment avant de publier les textes douteux d’un informateur, ou lorsque la situation dérape complètement à la fin, et que Sébastien passe pour un futur terroriste.
C’est dommage, mais ce texte peut malgré tout être utilisé en EMI ou en EMC pour pouvoir aborder le thème de la théorie du complot.
Résumé : Harriet, revenue des Etats-Unis, fait sa rentrée en décalé dans son lycée. Elle se dit qu’elle va devoir se faire des nouveaux amis, et se prépare psychologiquement pour y arriver. Mais rien ne se passe comme prévu, et Toby semble l’ignorer pour elle ne sait quelle raison. Et lorsque tout va s’emballer autour d’elle, elle va devoir faire face et réfléchir sur ce qu’est vraiment l’amitié.
Mon avis : Cela faisait un moment que je n’avais pas vécu les aventures d’Harriet.
Et j’ai retrouvé notre héroïne avec plaisir, malgré l’agacement certain qu’elle donne par moments, en présentant trop souvent des informations qu’elle a lues et qu’elle retient. Je comprends à certains moments la réaction de ses camarades qui la trouvent pimbêche et asociale.
Mais on lui pardonne bien vite, car cela fait partie de sa nature et de sa timidité, et d’ailleurs, elle va décider dans ce tome de changer.
Car Harriet comprend qu’elle doitchanger si elle veut se faire des amis et s’intégrer. Et elle décide aussi de prendre sa carrière de mannequin en main, et de profiter de ce qui se présente. Bien sûr, tout ne va pas se passer comme prévu, il y aura des aléas et des déconvenues, parfois importantes, mais on voit Harriet mûrir de plus en plus dans chaque tome, devenant plus réfléchie et audacieuse, et c’est toujours agréable et frais à lire.
Quelques extraits :
Et se plonge dans les histoires écrites par les autres au lieu de vivre la sienne
Tout, dans ma vie, a déjà changé, et ceci est ma seule chance d’accompagner le changement. De prendre ma propre histoire en main et d’en tourner les pages.
Car si on refait sans cesse les mêmes choses, il ne faut pas s’attendre à ce que le résultat change. Si je veux vraiment que ma vie change… il faut que je commence par me changer moi-même.
Je commence à comprendre que l’amitié véritable ne survient pas toujours de manière spectaculaire. Elle s’installe sans bruit, sans strass ni paillettes, sans chichis ni fioritures
Si à chaque acte de de gentillesse, nous ne brillons pas un peu plus fort, illuminant un peu plus les ténèbres. Si avec chaque amitié l’espace ne devient pas un peu moins vaste, et nous, un peu plus proches. Fabriquant nos étoiles à nous, pour ne jamais être vraiment seuls.
Car quelle que soit l’expansion de l’Univers, quelle que soit la distance qui nous sépare, ce sont là des liens qui nous tiennent ensemble. Les connexions qui ne seront jamais coupées.
« Et les vivants autour » de Barbara Abel, éditions Belfond
J’ai beaucoup de chance en ce moment, ayant reçu aussi des éditions Belfond, dans le cadre d’un Masse critique Babelio spécial, ce roman policier.
Jeanne a 29 ans et est dans le coma depuis quatre ans, son corps vit relié aux machines, mais son esprit ne s’est jamais réveillé.
Son père, grâce à son influence et à son argent, a permis de la garder en vie, mais la famille se doute qu’un jour, le médecin leur demandera de choisir de la débrancher.
Pour Micheline, la mère de Jeanne, qui vient rendre tous les jours rendre visite à sa fille à l’hôpital, cette issue n’est pas envisageable, elle est persuadée dans le fond de son cœur que sa fille se réveillera un jour.
Gilbert, son père, commence à douter, et envisage sérieusement de la faire débrancher, la visitant de temps en temps en coup de vent, pris par son métier et ses obligations, devenant un patron de plus en plus insensible.
Charlotte, la sœur de Jeanne, ne sait pas quelle décision prendre si on lui demandait, prise dans les méandres et les difficultés de sa propre vie, entre un compagnon qu’elle ne reconnaît plus, son travail dans le restaurant de son compagnon, et son envie d’enfant qui ne se concrétise pas.
Enfin, Jérôme, le mari de Jeanne, vit seul depuis le coma de Jeanne, s’interdisant toute relation.
Tous les quatre vont être convoqués par le médecin qui s’occupe de Jeanne, pensant que l’heure est venue de prendre une décision définitive pour Jeanne, et n’étant pas d’accord. Mais la révélation du médecin les surprend totalement, et ils vont alors devoir faire face à une terrible nouvelle, qui va les obliger à prendre rapidement un choix définitif, et qui va faire voler en éclats l’apparence d’une famille qui semblait soudée…
J’ai plongé dans ce roman comme dans une eau noire, me demandant dans quelle direction allait nous emmener l’auteur, qui lance des pistes à certains moments, faisant travailler l’imagination du lecteur, et des personnages, mais qui se révéleront bien plus retorses à la fin, dans les derniers chapitres, que ce j’aurais pu penser au début.
Chaque personnage semble au départ lisse et sans histoire, mais au fur et à mesure, les masques tombent, révélant la vacuité de certaines vies, les illusions, les secrets et l’ignominie de certains esprits. Personne n’en ressortira indemne, pas même le lecteur, qui en ressort sonné, voyant l’inéluctable arriver.
Le plus ahurissant, c’est que la révélation sordide du médecin, qui pourrait paraître incroyable, est en fait tirée d’un fait réel.
Tout s’enchaîne comme dans une tragédie, les vies de chacun et les faits s’enchaînant vers le pire.
Ce roman est publié en le présentant comme un thriller, mais c’est aussi pour moi un roman réaliste et social, qui montre les vies brisées derrière l’apparence d’une vie heureuse et bien réglée : la mère soumise à son mari et à la société, qui a laissé sa vie et ses rêves filer sous ses yeux, le père patriarche et distant, habitué à décider et à être obéi, mais aussi enfermé dans sa vie, les sœurs jalouses l’une de l’autre, les secrets de famille dévastateurs, le mari qui se sent coupable et découvre l’horrible comédie.
Tout sent la vengeance et le malheur, un seul personnage réussissant à se libérer de ses carcans et décidant de prendre son envol.
Un roman fort, où le destin se met en marche de façon inéluctable, avec une fin sordide à souhaits. Je ne connaissais pas cet auteur, et ce roman me donne envie de lire d’autres de ses titres.
C’est ce que tu dois retenir, ma chérie : ne pas se battre, ne pas prendre de risques, c’est aussi faire un choix. Mais n’oublie que, quelles que soient les surprises que la vie te réserve… il y a toujours un moment où il faut payer.
« Les Sorcières du Clan du Nord. La reine captive » d’Irena Brignull, éditions Gallimard jeunesse
Résumé : Poppy s’est transformée en hirondelle, direction l’Afrique, où elle est recueillie, mais aussi bientôt prisonnière. Pendant ce temps, dans les clans des sorcières, la révolte gronde avec l’absence d’une reine pour diriger, résoudre les conflits, et d’autres sorcières pourraient souhaiter prendre sa place. Alors Charlock prend la route et remonte le passé pour essayer de sauver Poppy…
Mon avis : J’avais eu un coup de cœur pour le tome 1, qui se confirme avec le tome 2, dont la couverture est tout aussi magnifique d’ailleurs !
Après la bataille, Poppy s’est transformée en hirondelle et a décidé de tout quitter, son rôle de reine qu’elle refuse, tout comme son amour interdit pour Leo, à qui elle souhaite de vivre heureux avec la douce Clarée. Arrivée en Afrique, elle se pose, et est recueillie pas une chamane, qui la maintient prisonnière pour la protéger de son destin. Poppy va se retrouver face à elle-même et à ses choix, mais pourra-t-elle les réaliser ?
Charlock, de son côté, part en quête du passé, car elle sent qu’elle doit réparer ce qu’elle a fait pour pouvoir aider sa fille. Quant à Leo et Clarée, leur vie n’est pas aussi sereine qu’ils pouvaient le souhaiter, car Poppy manque terriblement à Leo…
Ce tome 2 est tout aussi magnifique et terrible que le premier, avec des sentiments et des amours contrariés, de l’amour, de l’amitié, de la haine, de la jalousie… Tous les sentiments sont exacerbés, et le passé douloureux permet aussi d’expliquer le présent, et les graines jetées qui grandissent et se transforment en haine, en envie de pouvoir, même au-delà de la mort.
Ce deuxième tome lance aussi de nombreuses interrogations, tout comme le premier, et au lecteur d’y réfléchir. Peut-on dépasser la haine ? Le passé peut-il vraiment mourir ? A-t-on le choix face à un destin qui semble tout tracé ? Peut-on protéger les gens de tout en les enfermant ? Est-il possible d’être libre ? La perte de mémoire peut-elle être aussi douloureuse qu’une mémoire de moments difficiles trop présente dans son esprit ? L’amour se décrète-t-il ? Peut-on pardonner ? Apprend-on de ses erreurs ?
Une belle fresque, et un conte cruel et réaliste, où finalement l’amour peut être l’étincelle qui permet de vivre ou de ramener à la vie. A lire !
« A la fin de ce livre vous saurez dessiner» de Jake Spicer, éditions Dessain & Tolra
J’ai acheté ce titre, attirée par le titre accrocheur qui promet de savoir dessiner après l’avoir lu.
L’ouvrage est organisé en différentes parties, qui permettent d’utiliser différentes techniques et méthodes, ainsi que divers outils, en dehors du crayon de papier.
Des exemples sont donnés, ainsi que des conseils, et des pages blanches sont laissées pour s’entraîner.
L’auteur insiste bien sur le fait qu’il faut s’entraîner régulièrement afin de pouvoir progresser, et tenir aussi à côté un carnet de croquis.
Un ouvrage qui semble tenir ses promesses, même si je n’ai pas testé, qui guide pas à pas pour apprendre à dessiner des natures mortes, paysages ou personnes. A tester !