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L’adoption, 2. La Garua 

Publié le par Doc Bird

« L’adoption, 2. La Garua », scénario de Zidrou, dessins et couleurs de Arno Monin, éditions Bamboo, collection Grand angle

Résumé : Gabriel a dû se résigner à voir Qinaya repartir au Pérou, et son fils divorcer et aller en prison. Mais il a engagé un détective pour la retrouver. Il part alors au Pérou, mais va être déçu car la petite l’a oublié.

Mon avis : Heureusement que j’avais pu emprunter le tome 2 en même temps que le 1, car j’avais vraiment envie de connaître la suite !

Celle-ci va se retrouver placée sous le signe de la garua, la brume qui fait oublier les souvenirs et emporte tout avec elle. Gabriel va partir sur les traces de Qinaya au Pérou, et il va la retrouver. Mais celle-ci l’accueille certes gentillement, mais semble l’avoir oublié.

Alors Gabriel lui offre un ultime cadeau, décide de repartir en France, mais la rencontre d'un homme qui recherche le corps de sa fille, tuée lors du tremblement de terre, va le faire rester, et réfléchir sur lui-même, et sa relation avec son propre fils qu’il n’est jamais allé voir en prison. Ce dernier a écopé de trois ans de prison pour l’enlèvement de Qinaya, qui n’était pas orpheline, et avait encore de la famille au Pérou. Gabriel va alors se décider à renouer les liens avec lui, malgré le drame qui a fait exploser toute la famille.

Je ne m’attendais pas vraiment à ce que le récit prenne cette tournure, et en même temps, ce cheminement permet à Gabriel de faire un retour sur lui-même et de changer.

Ce deuxième tome a été très émouvant, à la fois triste et porteur d’espoir, montrant que l’on peut toujours renouer les liens, avec le temps.

Une belle série à découvrir !

L’avis de Manou :

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L’adoption, 1. Qinaya

Publié le par Doc Bird

« L’adoption, 1. Qinaya », scénario de Zidrou, dessins et couleurs de Arno Monin, éditions Bamboo, collection Grand angle

Résumé : La petite Qinaya, petite orpheline péruvienne de 4 ans, est adoptée par une famille française. Tout le monde est heureux pour la famille, sauf Gabriel, plutôt bougon, qui doit apprendre à être grand-père, alors qu’il était souvent un père absent.

Mon avis : Voici une BD que je cherchais depuis un moment à la médiathèque, et qui était enfin disponible en rayons ! L’avis de Manou m’avait donné envie de lire cette BD.

L’histoire est très émouvante, racontant l’adoption de la petite Qinaya par le fils de Gabriel et sa femme, qui ne pouvaient pas avoir d’enfants. Tout le monde est heureux, sauf Gabriel qui fait le bourru et a du mal à accepter cette petite, car elle le met face à son rôle de grand-père, lui qui a eu du mal à jouer celui de père.

Mais la petite Qinaya et Gabriel vont se rapprocher, et Gabriel va devenir un véritable papi gâteau, adorant la petite et se pliant en quatre pour lui faire plaisir. Il va même se rapprocher un peu de son fils, et lui faire une proposition intéressante.

On se dit que tout va bien pour la famille, et qu’un avenir heureux se dessine. C’est sans compter le retour à la réalité de la vie, qui va virer au drame, et va faire tout voler en éclats.

J’ai vraiment fondu face à cette belle histoire, où on voit un grand-père et une petite- fille se rapprocher et s’apprivoiser, et cela rend la fin, totalement inattendue, d’autant plus douloureuse.

A lire !

Lien vers la critique de Manou : 

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 Biguden, tomes 1-2-3

Publié le par Doc Bird

 Biguden, tomes 1-2-3 Biguden, tomes 1-2-3 Biguden, tomes 1-2-3

« Biguden, tomes 1-2-3 » de Stan Silas, éditions EP

Résumé : Goulwen vit seul avec sa mère et sa grand-mère bigouden au bord de la mer. Un jour, il découvre une petite fille échouée sur la plage et la ramène à la maison. Elle s’appellera Biguden, même si elle semble originaire du Japon, car la grand-mère s’aperçoit que la petite fille est capable de voir les êtres invisibles. Elle décide alors d’en faire son héritière pour sauvegarder le monde invisible.

Mon avis : J’ai lu d’une traite cette série en trois tomes, attirée par les couvertures et cette petite fille étrange qui semble n’avoir peur de rien ni de personne.

Elle apparaît un beau jour dans un petit village breton, et va pouvoir permettre aux trois dernières vieilles bigoudens du village de trouver la relève. Car avec elles va s’éteindre le monde invisible et ses dangers, car les gens n’y prêtent plus attention. Car on pourrait croire que le costume, la coiffe, le bigniou et les fest noz sont juste des éléments de la culture locale. Eh bien en fait, pas du tout ! Ce sont plutôt des moyens pour lutter contre les forces du mal invisibles.

Même si Biguden ne comprend pas tout, elle voit le monde invisible, et va aider les bigoudens. Mais en relevant ce défi, surgissent du monde invisible des créatures dangereuses, et Biguden contient elle aussi un être dangereux en elle, lié à son passé au Japon.

Une belle histoire pleine de pep’s, d’humour, de sentiments, de culture bretonne et celte, avec une héroïne qui cache bien son jeu, car elle n’est pas forcément conforme à ce qu’on pense d’elle.

A lire !

Publié dans Lectures-BD

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Just Not Married, 5

Publié le par Doc Bird

« Just Not Married, 5 » de Kinoko Higurashi, éditions Kana, collection Big Kana

Résumé : A l’occasion d’une sortie à l’aquarium, Ritsuko et Non-Chan se rendent compte qu’ils ont évolué, et tous deux s’apprêtent à faire des choix.

Mon avis : Ce tome 5 termine la série de façon émouvante et logique par rapport aux réflexions de Non-Chan et Ritsuko sur leur couple.

En voyant des familles avec des enfants à l’aquarium, et en réfléchissant à leur propre parcours, ils vont avancer ensemble dans leur chemin de vie. Alors mariage ou pas ? Je vous laisse lire ce manga pour le savoir….

Ils vont en tout cas faire un point sur leur vie et leur évolution, ce qui va impliquer des changements pour eux. En tout cas, ils se connaissent vraiment bien et savent ce qui plaira ou pas à l’autre…

Le dernier chapitre est original car c’est l’appartement qui les a hébergés pendant 10 ans qui va donner son point de vue sur leur couple, leur souhaiter adieu, et en même temps s’apprêter à accueillir un nouveau couple. La boucle est bouclée.

J’ai fermé ce manga avec le regret de quitter Non-Chan et Ritsuko, et en même temps avec la joie de leur laisser continuer leur histoire, seuls.

Quelques extraits :

 Mais je sais qu’entre nous on peut se permettre de se dire ce que l’on souhaite réellement.

Ces moments, qui n’appartiennent qu’à nous deux, et qu’on continue de façonner ensemble. Pour moi, c’est ça le bonheur.

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100 séries d’animation japonaises

Publié le par Doc Bird

« 100 séries d’animation japonaises », éditions Ynnis

Réalisé en partenariat avec la revue Animeland, ce documentaire retrace 40 années de séries d’animation japonaise, en les classant par dates.

De la fin des années 60 à aujourd’hui, ce tour des séries permet de se faire une idée des thématiques, auteurs, qui se sont fait une place sur nos écrans.

J’ai retrouvé avec plaisir des anime que je regardais quand j’étais gamine, à travers le Club Dorothée ou la chaîne TV La Cinq, retrouvant avec une certaine nostalgie certaines répliques cultes ou airs de la série à chantonner comme « Princesse Sarah », « Candy », et j’ai aussi retrouvé certaines séries culte liées à des mangas, comme « One Punch Man » par exemple, pour ne citer que lui.

Chaque double-page présente une série, sa date de création, les scénaristes, réalisateurs, un résumé de l’anime, les points forts et anecdotes autour de la série, le tout richement illustré.

Un documentaire à proposer aux ados comme aux adultes, pour partager autour de ses séries préférées et enrichir chacun !

Publié dans Lectures-documentaires

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Dans la forêt

Publié le par Doc Bird

 « Dans la forêt » de Jean Hegland, éditions Hatier, collection Classiques & Cie collège

Résumé : Nell et Eva, 17 et 18 ans, se retrouvent seules dans leur maison dans la forêt, sans leurs parents, sans électricité ni essence. Elles vont devoir apprendre à survivre seules.

Mon avis : J’avais déjà entendu parler de ce roman, et je me suis rappelée que je l’avais dans les rayons du CDI, je l’ai donc pris pour le lire chez moi.

Et je peux dire que je ne m’attendais pas à ce que j’ai lu en empruntant ce livre, qui m’a beaucoup marquée, car il n’est pas sans rappeler un peu ce que nous avons pu vivre en confinement.

Après des événements non racontés, les Etats-Unis se retrouvent sans eau courante, électricité, essence ou nourriture très rapidement. Des maladies (ré)apparaissent, emportant rapidement les personnes, faute de médicaments. Les magasins sont tous quasi-vides d’approvisionnement.

Deux jeunes filles, Nell et Eva, ne vont pas comprendre au début ce qui arrive, car les coupures de courant, de téléphone et d’Internet sont courantes, et elles s’y sont habituées, surtout qu’elles vivent loin de la ville plus proche, dans la forêt, avec leur père. Elles se remettent progressivement du deuil de leur mère, morte d’un cancer, Nell veut passer les examens d’entrée pour Harvard, et Eva devenir danseuse classique, et elles se préparent avec intensité.

Elles comprennent que quelque chose a changé quand elles se rendent avec leur père en ville, découvrant une ville fantôme, sans essence, et sans presque plus de produits alimentaires. Leur famille arrive malgré tout à faire le plein avec ce qui reste, et se prépare à vivre de longs mois seuls dans la forêt, en attendant que la situation se rétablisse. Mais leur père va mourir, et elles vont devoir apprendre à vivre et à se débrouiller seules...

Le récit est écrit par Nell, qui écrit son témoignage dans son journal intime, et rend compte du quotidien des jeunes filles, qui vont devoir apprendre à faire avec les ressources de la nature.

J’ai regretté de n’avoir au CDI que la version abrégée, même si elle me semble largement suffisante pour des collégiens, car je pense que certaines scènes coupées pouvaient peut-être les choquer, car sûrement très réalistes.

Il ressort de l’ensemble une certaine tristesse en voyant ce qui arrive aux deux sœurs, mais en même temps, on les voit évoluer, se prendre en charge seules, faire des essais de plantations, de récoltes, pour pouvoir manger, s’adapter à la la nature et au monde qui les entoure, et finalement mûrir en laissant derrière elles leurs rêves du passé.

Un roman qui fait réfléchir sur les conséquences des actions de l’homme sur la nature, sur le peu de temps qu’il faut à une civilisation pour se déliter, et qui fait s’interroger sur une possible survie de quelques uns dans la nature, qui paraît sauvage et hostile quand on ne la connaît pas.

Publié dans Lectures-romans

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Le Salon de thé du bonheur retrouvé 

Publié le par Doc Bird

« Le Salon de thé du bonheur retrouvé » de Céline Gaudel, éditions Jouvence, collection Jouvence roman

Voici un roman reçu dans le cadre du Masse critique littératures, et je remercie Babelio et les éditions Jouvence de me l’avoir envoyé. Ce roman est présenté comme un roman feel good, et a reçu le prix du roman bien-être 2023, prix que je ne connaissais pas, et qui en est à sa quatrième édition.

Candice a perdu goût à la vie et l’inspiration pour écrire ses romans depuis la mort brutale de son mari il y a quelques mois. Elle erre dans un appartement vide de sa présence, retrouvant autour d’elle des éléments lui rappelant sans cesse son bonheur passé. Sa fille, Mathilde, a elle aussi du mal à vivre ce deuil, et rentre un jour de son travail de pâtissière dans un établissement parisien de prestige énervée, et soulagée d’avoir démissionné. En regardant une émission télé avec sa mère, elle découvre qu’un couple du nord de la France recherche désespérément un repreneur pour leur boulangerie et salon de thé. C’est le déclic ! Et Mathilde va persuader sa mère que reprendre cette boulangerie-salon de thé est l’opportunité qu’il leur faut pour pouvoir tourner la page des douleurs et de la tristesse, et repartir vers un avenir plus serein et positif. Les voilà alors toutes deux parties pour un petit village du nord, où elles vont rencontrer de nouvelles personnes, se confronter à leur passé, et aborder leur nouvelle vie.

Le résumé de l’histoire était bien alléchant, avec la reconstruction d’une mère et d’une fille abîmées par la vie, le tout dans une boulangerie-pâtisserie, où les recettes de Mathilde de gâteaux de Noël donnent l’eau à la bouche, et où on viendrait se poser avec joie dans le salon de thé, pour manger de délicieuses pâtisseries un livre à la main. Cet aspect est d’ailleurs un point fort du récit. On s’imagine s’installer douillettement dans ce bel endroit chaleureux.

Mais cet aspect de conte de Noël m’a semblé bien trop éloigné de la réalité, avec une histoire qui se déroule en l’espace de deux mois, et où tout se déroule trop rapidement pour être crédible. En quelques jours, Candice et Mathilde réussissent à monter un dossier à la banque, déménager, ouvrir dès leur arrivée la boulangerie et salon de thé, où tout le monde vient rapidement, avec le bouche à oreille qui fonctionne tellement que leur boutique ne désemplit pas. Et j’ai trouvé l’histoire trop cousue de fil blanc et prévisible, entre l’amour qui va pointer vite le bout de son nez, des lettres retrouvées dans un grenier qui vont être mises vite en lien avec un personnage, le tout dans une ambiance de Noël un peu trop idéale pour être crédible. Il m’a manqué de temps pour approfondir les personnages, laisser le temps aux situations d’évoluer, car tout démarre un 25 octobre et se termine bien un 24 décembre. Certes, la magie de Noël existe, mais j’ai trouvé les ficelles un peu grosses.

Un livre à lire plus comme un conte de Noël. Sinon, vous risquez d’être un peu déçue, comme moi.

Ce roman paraît en librairie aujourd"hui.

Un extrait 

La lecture, ça se partage ! Et les livres sont faits pour être lus, pas pour prendre la poussière sur des étagères…

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Dans l’ombre du Paradis 

Publié le par Doc Bird

« Dans l’ombre du Paradis » de Viveca Sten, éditions Albin Michel

Carsten Larsson, un requin de la finance, fait construire une magnifique maison sur l’île de Sandhamm. Mais son projet n’est pas forcément bien accueilli par la population locale, qui lui reproche de ne pas respecter les us et coutumes, et de construire une résidence trop tape à l’œil. Mais Carsten n’en a rien à faire, et vient s’installer avec sa femme et ses enfants pour les vacances.

Mais la nuit de la pendaison de crémaillère, la maison des invités prend feu, et on retrouve un corps carbonisé.

Nora, invitée à cette soirée, a entendu des choses, et Thomas, son meilleur ami, va enquêter sur cette affaire, alors que lui-même est en pleine remise en question professionnelle.

Qui pourrait vouloir du mal à Carsten ? Est-ce lié à la construction de sa maison ? A son métier ? L’enquête ne fait que commencer…

J’avais lu du même auteur « Au cœur de l’été » et j’ai retrouvé nos héros, Thomas et Nora, quelques années plus tard. Nora est maman d’une petite Julia, avec Jonas, et Thomas commence à sérieusement douter de son métier, et se demande s’il ne devrait pas en changer. Pendant ses vacances et ses remises en question, il va se pencher sur l’incendie et la mort d’une personne chez Carsten.

Ce roman, comme le précédent, est une bonne lecture de détente. Comme pour ma précédente lecture, je trouve que le rythme est un peu lent, et tout s’accélère vraiment vers la fin, que je n’avais pas vu venir pour une partie. L’auteur réussit à nous mettre dans l’ambiance de cette île suédoise, de ses habitudes et de sa façon de vivre. Un moment sympa de lecture. 

Publié dans Lecture-adultes

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Just Not Married, 4

Publié le par Doc Bird

« Just Not Married, 4 » de Kinoko Higurashi, éditions Kana, collection Big Kana

Résumé : Ritsuko et Non-Chan vont raconter chacun de leur point de vue leur rencontre au lycée, à l’occasion d’une réunion d’anciens élèves. Ils vont aussi faire un petit voyage, et Ritsuko va aussi tomber malade.

Mon avis : Ce tome 4 se déguste comme les premiers, tant est juste le regard de chacun sur les situations et sur le couple.

Tout commence avec un petit voyage dans un onsen, une source chaude, qui pourrait rapidement virer à la catastrophe… Tout dépend du regard que l’on y porte, et des aléas du voyage. Ensuite, le rhume de Ritsuko, qui ne tombe jamais malade, sera l’occasion de voir comment chacun peut aider l’autre et se compléter. Enfin, une réunion d’anciens élèves sera l’occasion de retourner dans le passé, pour savoir comment Ritsuko et Non-Chan se sont rencontrés, et sera aussi un moment permettant à chacun de se positionner et de faire valoir son avis. Car :  

on n’est pas obligés de faire tout ce que la société attend de nous.

Une belle série avec des tranches de vie qui permettent de voir les mêmes situations à travers différents points de vue.

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Vis une année sans plastique ! 

Publié le par Doc Bird

« Vis une année sans plastique ! » de Sophie Frys, illustrations de Anna Lubinski, éditions Fleurus, collection #PassionEcologie

A travers 52 missions, correspondant au nombre de semaines dans l’année, chaque jeune peut s’engager à son niveau pour protéger l’environnement. Les missions se répartissent en plusieurs catégories : à l’école ou au collège, à l’extérieur, au jardin, dans la salle de bains et le dressing, dans la cuisine.

Chaque challenge permet d’avancer en réalisant un geste qui permet de limiter l’utilisation du plastique qui se retrouve dans la nature. On peut par exemple acheter des fournitures scolaires plus éco-responsables, apprendre à faire soi-même un protège-cahiers, ramasser les déchets dans la nature, réparer ou troquer ses objets, réaliser des cartes contenant des graines à planter, fabriquer ses propres produits cosmétiques ou ménagers, éviter les suremballages, acheter en vrac… Pour chaque mission, des explications sont données, ainsi qu'une proposition concrète d’action.

Un questionnaire au début permet de se situer par rapport à ses usages, et à la fin, un mémo permet de cocher les missions réalisées.

Un documentaire intéressant pour proposer des solutions concrètes pour protéger la nature et utiliser moins de plastique, et qui donne envie de faire des choses car le principe des missions est très stimulant, et peut entraîner toute la famille.

Je pratique déjà pour réduire ma consommation de plastique et fabriquer certains produits moi-même, et j’ai trouvé d’autres idées et actions concrètes.

A proposer aux jeunes comme aux adultes !

Publié dans Lectures-documentaires

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