Coeur caramel. Les filles au chocolat, tome 8
/image%2F0786227%2F20240303%2Fob_ab87b8_9782092490655.jpg)
« Coeur caramel. Les filles au chocolat, tome 8 » de Cathy Cassidy, éditions Nathan
Résumé : Summer est contente de rentrer chez elle se reposer pendant les vacances. Mais rien ne va se passer comme prévu, entre ses retrouvailles avec Tommy qui ne se passent pas comme elle l’espérait, et un gros spectacle caritatif à monter.
Mon avis : Ce tome 8 en roman est en fait l’adaptation de la BD « Cœur cannelle », que je n’ai pas lue.
Après avoir mis en avant Skye dans le tome précédent, c’est au tour de Summer, sa jumelle, de rencontrer des problèmes amoureux. Elle est très heureuse de passer les vacances chez elle, mais ses retrouvailles avec Tommy ne sont pas aussi chaleureuses qu’elle l’espèrait. Car en voulant monter un spectacle qui puisse aider au financement du toit de la salle des fêtes qui s’est effondré, elle fait appel à ses deux amis danseurs, dont Sparks, dont Tommy va rapidement tomber jaloux, sans que Summer s’en rende compte. Et quand elle découvre que Tommy s’éloigne d’elle, elle perd confiance en elle et pourrait renouer avec ses anciens démons de stress et d’anorexie.
Un tome 8 intéressant qui montre que l’anorexie est une maladie qui peut avoir des rechutes en cas de situations de stress intense. Heureusement Summer peut compter sur sa famille et ses amis.
Un livre à proposer aux fans de la série, mais aussi pour parler de confiance en soi, de recherche de la perfection, et de l’acceptation de soi. Et en bonus, cela donne envie de monter une comédie musicale !
Quelques extraits :
Danser pour moi-même me procure toujours une joie pure et parfaite, alors que danser pour les autres implique une forme de défi.
Je suis à deux doigts de me noyer, mais je me comporte comme si tout allait bien. A croire que je n’ai tiré aucune leçon de mes erreurs passées.
Même si c’est dur d’ouvrir son cœur, se sentir écoutée et comprise, ça n’a pas de prix.
Tu sais, Summer, la perfection n’existe pas. Tu aurais beau te tuer à la tâche, tu ne l’atteindrais jamais. Et au passage, tu risquerais de sacrifier la personne merveilleuse, drôle et créative que tu es.