Blue Lock, 1
/image%2F0786227%2F20240316%2Fob_0c78a5_9782811650254-001-t.jpeg)
« Blue Lock, 1 », scnénario de Muneyuki Kaneshiro, dessin de Yusuke Nomura, éditions Pika
Résumé : Afin de faire de l’équipe de foot japonaise une gagnante lors de la prochaine coupe du monde, le « Blue Lock » est créé. Il s’agit d’un centre révolutionnaire chargé de trouver et former le meilleur attaquant. Parmi les 300 candidats, Yoichi Isagi découvre un monde sans pitié s’il veut réussir.
Mon avis : En lisant ce premier tome, je m’attendais à une histoire de foot un peu trop conventionnelle, alors que pas du tout ! Il s’agit ici de la création d’un centre de formation hors norme, qui va sélectionner 300 candidats, afin de trouver la perle rare, l’attaquant qui mènera l’équipe du Japon à la victoire en coupe du monde.
Et pour cela, tous les moyens sont bons, et les joueurs vont découvrir que les valeurs d’entraide et de collectif vont être oubliées au prix d’un individualisme forcené. Car un seul d’entre eux sera sélectionné.
Parmi eux se trouve Yoichi Isaki, qui joue en collectif, et va découvrir qu’il va devoir faire remonter ses plus sombres instincts pour ne pas être éliminé. Car les sélections sont tout sauf conventionnelles.
Je trouve que ce manga porte un discours assez négatif, avec des élites qui veulent gagner à tout prix, quitte à briser les espoirs, les esprits et les futures carrières des jeunes participants. Et les méthodes prônent beaucoup trop l’individualisme, comme si seul l’attaquant avait un rôle clé dans une équipe.
Je suis assez déçue donc.